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Les droits de succession occupent à nouveau le débat public, alimentés par les discussions liées au budget 2026. Pourtant, une étude MoneyVox–YouGov révèle un paradoxe : les Français surestiment massivement cet impôt, mais se privent des outils qui permettraient de le réduire, voire de l’éliminer dans certains cas. Entre méconnaissance des règles, confusion sur les seuils et solutions patrimoniales sous-utilisées, la transmission demeure un territoire où la pédagogie fait cruellement défaut.
À mesure que les réformes s’enchaînent et que le pouvoir d’achat se fragilise, les Français abordent la question de la retraite avec une inquiétude croissante. Selon une étude Kantar pour Iroko, près de trois quarts d’entre eux doutent de leur capacité à maintenir leur niveau de vie. Dans ce climat de défiance envers le système public, l’immobilier ressort comme la valeur refuge par excellence, tandis que les arbitrages d’épargne évoluent rapidement.
Alors que les investisseurs naviguent dans un environnement encore heurté, entre ralentissement économique, volatilité persistante et rendements obligataires en reflux, les infrastructures privées s’imposent comme une réponse structurelle.
Selon une vaste enquête menée par ACASI auprès de 1 701 freelances et travailleurs indépendants, seuls 5 % maîtrisent réellement les leviers d’optimisation fiscale auxquels ils ont pourtant droit.
Alors que les droits de succession refont surface dans le débat budgétaire 2026, une étude Meilleurtaux/YouGov révèle un paradoxe typiquement français : la quasi-totalité des citoyens souhaite alléger un impôt… que la grande majorité ne paierait jamais.
C’est une petite révolution qui s’est jouée tard dans la soirée du 14 novembre : les députés ont adopté un amendement ouvrant l’amortissement aux locations nues, un mécanisme jusqu’ici réservé au meublé et aux régimes relevant des BIC.
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